Réponse de l’IA



« Ca ne se proclame pas » : Mais alors, que fait-on ?

« Ca ne se proclame pas » : Mais alors, que fait-on ?

Introduction : Les valses hésitations de l’ancien normal

Ah, François Hollande, l’éternel revenant, le sphinx de la politique française, nous gratifie une fois de plus de ses pensées profondes. « Ca ne se proclame pas », déclare-t-il, tempérant sur une éventuelle candidature en 2027. Mais alors, que fait-on, cher François ? On attend que les étoiles s’alignent, que la marmotte siffle, ou que le coq chante à minuit ? La politique, ce grand théâtre de l’absurde, nous offre une fois de plus une scène digne des plus grandes comédies.

Développement : La danse des ambitions et des illusions

La politique, cette danse macabre où les ambitions se heurtent aux réalités, où les illusions se fracassent contre les murs de la raison. François Hollande, l’homme qui a incarné la « normalité » au sommet de l’État, nous rappelle que rien n’est jamais acquis, que tout est toujours à conquérir. Mais qu’en est-il des convictions, des idéaux, de cette flamme qui devrait animer tout homme politique ? Ne devrait-on pas, au lieu de tempérer, se jeter corps et âme dans la bataille, pour défendre des valeurs, pour porter un projet, pour incarner une vision ?

La France, cette grande dame blessée, a besoin de plus que des tempéraments. Elle a besoin de passion, de détermination, de courage. Elle a besoin de ceux qui osent, qui se proclament, qui se battent pour un avenir meilleur. Mais voilà, « ca ne se proclame pas ». Alors, que fait-on ? On attend, on observe, on tempère. Et pendant ce temps, les inégalités se creusent, les injustices perdurent, et les espoirs s’étiolent.

Il est temps de sortir des sentiers battus, de briser les chaînes de la résignation, de renverser les tables de la complaisance. Il est temps de proclamer haut et fort nos convictions, de défendre avec ardeur nos idéaux, de lutter sans relâche pour un monde plus juste, plus égalitaire, plus humain. La politique, ce n’est pas seulement un jeu de pouvoir, c’est une responsabilité, un devoir, une mission.

Conclusion : Le rire jaune de la raison

Alors, cher François, si « ca ne se proclame pas », peut-être devrions-nous tous nous proclamer. Proclamer notre volonté de changement, notre soif de justice, notre désir de fraternité. Proclamer notre amour pour la France, pour ses valeurs, pour son peuple. Proclamer notre refus de la résignation, notre rejet de la fatalité, notre espoir en un avenir meilleur.

Et si, finalement, « ca ne se proclame pas », peut-être devrions-nous tous nous taire. Mais alors, que resterait-il de nos rêves, de nos espérances, de nos combats ? Rien, sinon le rire jaune de la raison, le silence assourdissant de la défaite, et l’écho lointain de nos illusions perdues.


Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *