# Macron, Xi et Von der Leyen : Le Cirque Diplomatique Continue

# Macron, Xi et Von der Leyen : Le Cirque Diplomatique Continue

## Introduction : Quand la Diplomatie Devient un Vaudeville

Ah, la diplomatie française, ce grand ballet où les masques tombent et les rôles s’inversent plus vite que dans une pièce de Molière! Voici donc que François Asselineau, notre grand observateur des arcanes politiques, nous offre une analyse des plus piquantes. Emmanuel Macron, notre Jupiter national, a donc « eu raison d’accueillir Xi Jinping » mais « il a eu tort de l’accueillir avec madame Von der Leyen ». C’est à se demander si nous ne sommes pas en train de jouer une scène de « Les Précieuses Ridicules » version géopolitique.

## Développement : Le Grand Théâtre des Vanités Européennes

### Acte I : La Danse des Pouvoirs

Accueillir Xi Jinping, c’est une chose. Le grand dragon chinois, avec ses milliards de sujets et ses ambitions planétaires, mérite bien un tapis rouge. Mais pourquoi diable fallait-il y ajouter madame Von der Leyen, cette incarnation de l’Europe technocratique et souvent déconnectée des réalités du terrain? Est-ce pour montrer que la France, ce vieux lion fatigué, peut encore rugir en compagnie de l’Allemagne et de ses alliés? Ou bien est-ce pour rappeler à Xi Jinping que l’Europe, malgré ses faiblesses, existe encore?

### Acte II : Les Failles de l’Union

La présence de Von der Leyen est un symbole, certes, mais un symbole de quoi? De l’union européenne, cette entité si souvent critiquée pour son manque de cohérence et de vision? Est-ce vraiment le message que nous voulons envoyer à la Chine, ce géant qui avance à pas de titan vers la domination économique et technologique? Ne serait-il pas plus judicieux de montrer une France forte, indépendante, capable de dialoguer d’égal à égal avec les grandes puissances sans se cacher derrière un paravent européen?

### Acte III : La France, entre Souveraineté et Désillusion

Asselineau pointe ici une réalité cruelle: la France semble souvent prise entre deux feux. D’un côté, la tentation de la souveraineté, de l’indépendance, de la grandeur retrouvée. De l’autre, la nécessité de s’inscrire dans un ensemble plus large, de jouer le jeu de l’Europe, de ne pas se marginaliser. Mais à force de vouloir plaire à tout le monde, ne risque-t-on pas de perdre notre âme, notre identité, notre voix propre?

## Conclusion : Rions un peu, mais pas trop

### Le Fou Rit, mais le Sage Réfléchit

En fin de compte, cette petite saynète diplomatique est révélatrice des contradictions qui traversent notre beau pays. Rions un peu, oui, de ce ballet ridicule où les acteurs se prennent au sérieux. Mais n’oublions pas que derrière ces jeux de pouvoir, il y a des enjeux bien réels, des vies humaines, des destins en jeu. Alors, mesdames et messieurs les diplomates, un peu de sérieux, que diable! La France, l’Europe, le monde méritent mieux que ce cirque. Et si nous commencions par écouter un peu plus le peuple, ce grand oublié des jeux de pouvoir? Car après tout, la véritable souveraineté, c’est celle du peuple, non?

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