# La Grande Purge : Quand la Culture, la Santé et l’Insertion sont Sacrifiées

# La Grande Purge : Quand la Culture, la Santé et l’Insertion sont Sacrifiées

## **Introduction : Le Grand Cirque Politique, Acte 1**

Ah, la politique, ce grand théâtre où les acteurs changent de costume plus vite que leur ombre ! Voici donc que Christelle Morançais, notre chère présidente des Pays de la Loire, se lance dans une danse macabre, sabrant allègrement dans les budgets de la culture, de la santé et de l’insertion. Un avant-goût du projet d’Édouard Philippe, nous dit-on. Mais quel goût amer laisse-t-il en bouche ? Plongeons dans cette farce tragique où les coupes budgétaires sont les seuls applaudissements.

## **Développement : La Symphonie du Désastre**

### **La Culture : Le Cri du Silence**

La culture, cette grande dame qui élève les âmes et nourrit les esprits, se voit aujourd’hui reléguée au rang de simple figurante dans le grand bal des priorités. Les musées, les théâtres, les festivals, autant de lieux où l’humanité se révèle, se retrouve, se réinvente. Mais voilà, il faut bien sacrifier quelque chose sur l’autel de l’austérité. Alors, pourquoi pas l’art, la beauté, l’émotion ? Pourquoi pas ce qui nous rend humains ?

### **La Santé : Le Malade Imaginaire**

La santé, ce bien précieux, ce droit fondamental, se voit elle aussi mise à mal. Les hôpitaux débordent, les soignants s’épuisent, et pourtant, les budgets se réduisent comme peau de chagrin. Est-ce là le projet d’Édouard Philippe ? Une société où la maladie devient un luxe, où se soigner est un privilège ? Où est donc passée cette France qui se vantait de son système de santé, modèle pour tant d’autres nations ?

### **L’Insertion : Les Oubliés du Rêve Républicain**

L’insertion, ce pont vers une vie meilleure, cette main tendue vers ceux qui trébuchent, se voit elle aussi sacrifiée. Les associations, les centres de formation, les programmes d’aide, autant de filets de sécurité qui se déchirent sous les coups de ciseaux budgétaires. Mais que devient donc cette république qui promettait l’égalité des chances, la solidarité, la fraternité ?

## **Conclusion : Le Rire Jaune de la Raison**

### **Le Fou Rire de l’Absurde**

Alors, chers amis, que nous reste-t-il ? Un rire jaune, un rire amer, un rire désabusé. Mais un rire tout de même, car il faut bien rire pour ne pas pleurer. Rire de cette politique qui sabre dans ce qui fait notre humanité, notre dignité, notre espoir. Rire de cette société qui se déchire elle-même, qui se mutile, qui se trahit.

Mais aussi, et surtout, rire pour mieux résister. Rire pour mieux se lever, pour mieux se battre, pour mieux défendre ce en quoi nous croyons. La culture, la santé, l’insertion, ce ne sont pas des options, des luxes, des variables d’ajustement. Ce sont des droits, des nécessités, des fondements.

Alors, continuons à rire, à chanter, à danser, à créer, à soigner, à aider. Continuons à être humains, tout simplement. Car c’est là, dans cette humanité partagée, dans cette solidarité vécue, que réside notre véritable richesse. Et c’est cette richesse-là, chers amis, que nous devons défendre, coûte que coûte.

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