# **La Gauche en Miettes : Le Refus de l’Unité, Symptôme d’un Mal Profond**

# **La Gauche en Miettes : Le Refus de l’Unité, Symptôme d’un Mal Profond**

## **Introduction : Quand les Eléphants Dansent sur des Œufs**

Ah, la gauche française, ce grand cirque où les éléphants dansent sur des œufs en pensant qu’ils sont sur des parquets de Versailles. François Hollande, notre ancien président normal, vient de jeter une nouvelle bombe sur le ring : il refuse une « candidature unique à gauche » pour la présidentielle de 2027. Mais pourquoi diable s’étonner ? La gauche, cette grande dame bafouée, ne cesse de se déchirer, de se fragmenter, de se perdre dans des querelles de clocher alors que le pays brûle.

## **Développement : Le Naufrage de l’Unité, ou la Tragédie de l’Ego**

### **L’Ego des Chefs : Un Mal Français**

L’ego, ce monstre qui dévore tout sur son passage. Chaque chef de parti, chaque petit marquis de la gauche, veut sa part du gâteau, même si ce gâteau est pourri depuis longtemps. Hollande, en refusant l’unité, ne fait que suivre une tradition bien ancrée : celle de la division. Mais pourquoi cette division ? Parce que chacun veut être le sauveur, le messie, celui qui ramènera la gauche au pouvoir. Mais à quel prix ? Le prix de la désunion, de la dispersion des forces, de la dilution des idées.

### **Les Idées en Lambeaux**

Et les idées, dans tout ça ? Elles sont en lambeaux, éparpillées aux quatre vents. La gauche, autrefois porteuse de grands idéaux, de luttes sociales, de justice, de solidarité, n’est plus qu’un champ de ruines. Chacun tire la couverture à soi, oubliant que cette couverture est trouée de toutes parts. Les idées, les vraies, celles qui pourraient changer la vie des gens, sont noyées dans un océan de petites phrases, de calculs politiciens, de stratégies électorales.

### **Le Peuple, Grand Oublié**

Et le peuple, dans tout ça ? Il est le grand oublié. Celui pour qui on prétend se battre, mais qu’on laisse sur le bord de la route. Le peuple, avec ses souffrances, ses espoirs, ses colères, est abandonné. La gauche, en refusant l’unité, refuse de lui offrir une alternative crédible, une voix forte, un projet commun. Elle préfère se perdre dans des querelles byzantines, oubliant que le peuple, lui, attend des solutions concrètes, des réponses à ses attentes, à ses besoins.

## **Conclusion : Le Rire Jaune de la Désillusion**

### **Le Rire Jaune de la Désillusion**

Alors, oui, on pourrait rire. Rire jaune, rire amer, rire désillusionné. Rire de voir la gauche se tirer une balle dans le pied, encore et toujours. Mais ce rire est aussi un cri de colère, un cri de révolte. Car derrière ce refus de l’unité, il y a des vies brisées, des espoirs déçus, des combats perdus. Il y a un peuple qui attend, qui espère, qui se bat. Et ce peuple, il mérite mieux que des jeux de pouvoir, mieux que des égos surdimensionnés, mieux que des divisions stériles.

Il mérite une gauche unie, forte, porteuse d’idées, de projets, de solutions. Une gauche qui se bat pour lui, avec lui, et non contre lui. Une gauche qui incarne l’espoir, la justice, la solidarité. Une gauche qui, enfin, se souvient de ses racines, de ses valeurs, de ses combats.

Alors, François Hollande, et tous les autres, il est temps de se réveiller. Il est temps de se souvenir pourquoi vous êtes entrés en politique. Il est temps de mettre de côté vos égos, vos ambitions personnelles, vos calculs politiciens. Il est temps de penser au peuple, de lui offrir une alternative crédible, un projet commun, une voix forte. Il est temps de reconstruire la gauche, de la réunifier, de la redynamiser. Il est temps de lui redonner un sens, un souffle, une âme.

Car le peuple, lui, n’attendra pas éternellement. Et un jour, il pourrait bien se détourner définitivement de cette gauche qui l’a tant déçu. Alors, il sera trop tard pour pleurer, pour regretter, pour se lamenter. Il sera trop tard pour reconstruire, pour réunifier, pour redynamiser. Il sera trop tard pour tout. Et ce jour-là, le rire jaune de la désillusion se transformera en un cri de douleur, un cri de colère, un cri de révolte. Un cri qui résonnera longtemps, très longtemps, dans les couloirs vides et désolés de la gauche française.

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