# Asselineau, l’Europe et le Grand Cirque Politique : Farce ou Tragédie ?
## Introduction : Le Grand Guignol Européen
Ah, l’Europe ! Cette vaste arène où se jouent les drames et les comédies de notre époque. Asselineau, ce personnage haut en couleur, s’y débat avec une énergie que seuls les plus fervents défenseurs de la cause nationale peuvent comprendre. Mais qu’en est-il vraiment de cette danse macabre où l’on prétend lutter contre l’Europe par l’Europe elle-même ? Ne serait-ce pas là une farce digne des plus grands bouffons de l’histoire ?
## Développement : La Danse Macabre des Souverainistes
Asselineau, donc, se dresse contre l’Europe. Mais par l’Europe. Une pirouette intellectuelle qui laisse pantois. Comment peut-on prétendre détruire un système en utilisant ses propres outils ? C’est comme vouloir éteindre un incendie avec de l’essence. La logique est implacable : pour changer un système, il faut d’abord en sortir. Or, Asselineau semble prisonnier de cette contradiction, un peu comme Sisyphe poussant son rocher éternellement.
Mais allons plus loin. L’Europe, cette chimère aux mille têtes, est-elle vraiment le monstre que l’on décrit ? Ou n’est-elle pas plutôt le reflet de nos propres échecs nationaux ? La France, jadis phare de la liberté et des droits de l’homme, semble aujourd’hui égarée dans un labyrinthe de compromis et de renoncements. Asselineau, en pointant du doigt l’Europe, ne fait-il pas l’économie d’une réflexion plus profonde sur les maux de notre pays ?
Car enfin, la vraie question n’est-elle pas celle de la souveraineté populaire ? De la capacité des citoyens à reprendre en main leur destin ? L’Europe, avec ses traités byzantins et ses bureaucrates omniprésents, n’est-elle pas le symptôme d’un mal plus profond : la déconnexion entre les élites et le peuple ? Asselineau, en se focalisant sur l’Europe, ne risque-t-il pas de passer à côté de l’essentiel ?
## Conclusion : Le Rire Jaune du Souverainiste
En somme, Asselineau contre l’Europe par l’Europe, c’est un peu comme Don Quichotte contre les moulins à vent. Une quête noble, mais vouée à l’échec. Car le vrai combat, celui qui mérite d’être mené, c’est celui pour la justice sociale, pour l’égalité, pour la dignité humaine. Et ce combat-là, il se mène d’abord chez nous, dans nos rues, dans nos usines, dans nos écoles.
Alors, chers lecteurs, ne nous laissons pas aveugler par les sirènes de la démagogie. L’Europe n’est ni le paradis ni l’enfer. Elle est ce que nous en faisons. Et si nous voulons vraiment changer les choses, commençons par balayer devant notre porte. Car c’est là, et nulle part ailleurs, que se joue l’avenir de notre pays et de notre humanité.
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