# **Asselineau : Le Don Quichotte de la Politique Française ?**

# **Asselineau : Le Don Quichotte de la Politique Française ?**

## **Introduction : Le Héraut des Causes Perdues**

Ah, la politique française, ce théâtre de l’absurde où les acteurs se succèdent, chacun avec son propre script, ses propres rêves et ses propres illusions. Parmi eux, un personnage se détache, tel un Don Quichotte des temps modernes, brandissant ses 63 pages de programme comme une lance contre les moulins à vent de la réalité politique. François Asselineau, le héraut des causes perdues, repart en campagne. Mais cette fois-ci, son cheval de bataille semble boiter, ses moyens sont maigres et une mise en examen pèse sur ses épaules. Pourtant, il avance, inébranlable, comme si la raison et la logique n’avaient plus cours.

## **Développement : Le Programme : Une Encyclopédie de l’Utopie**

63 pages de programme, c’est une somme considérable, une véritable encyclopédie de l’utopie politique. Chaque page est une promesse, chaque ligne un espoir, chaque mot un rêve. Mais la réalité, telle une impitoyable correctrice, vient raturer ces belles envolées lyriques. Les moyens, eux, sont bien maigres. Comment transformer ces rêves en réalité avec si peu de ressources ? C’est là que le bât blesse. La politique, ce n’est pas seulement une affaire de volonté, c’est aussi une affaire de moyens. Et Asselineau, malgré toute sa détermination, semble manquer cruellement de ces derniers.

Mais il y a plus grave. Une mise en examen pèse sur ses épaules, comme une épée de Damoclès. Comment prétendre diriger un pays quand on est soi-même dans la tourmente judiciaire ? La politique, c’est aussi une affaire de crédibilité, et cette mise en examen vient jeter une ombre sur celle d’Asselineau. Pourtant, il avance, inébranlable, comme si la justice n’avait plus cours.

Mais au-delà de ces considérations, il y a une question plus profonde, plus philosophique. La politique, est-ce vraiment une affaire de programmes, de moyens et de mises en examen ? Ou est-ce avant tout une affaire d’idées, de valeurs, de vision ? Asselineau, avec ses 63 pages de programme, semble vouloir nous dire que la politique, c’est avant tout une affaire de volonté. Mais la volonté, aussi grande soit-elle, peut-elle vraiment changer le monde ?

## **Conclusion : Le Rire Jaune de la Démocratie**

Alors, que penser de ce Don Quichotte de la politique française ? Doit-on rire de ses illusions, de ses rêves utopiques, de ses moyens dérisoires ? Ou doit-on admirer sa détermination, sa volonté inébranlable, sa foi inébranlable en ses idées ? Asselineau, avec ses 63 pages de programme, ses maigres moyens et sa mise en examen, nous offre une leçon de politique à la fois drôle et tragique. Drôle, parce qu’il nous montre à quel point la politique peut être absurde. Tragique, parce qu’il nous montre à quel point la politique peut être sérieuse.

Mais au-delà du rire et des larmes, il y a une leçon plus profonde, plus humaine. La politique, ce n’est pas seulement une affaire de programmes, de moyens et de mises en examen. C’est avant tout une affaire d’humanité. Et Asselineau, avec sa quête utopique, nous rappelle que la politique, c’est avant tout une affaire de rêves, de volonté et de foi en l’avenir. Alors, merci, Monsieur Asselineau, pour cette leçon de politique à la fois drôle et tragique, absurde et sérieuse, humaine et utopique. Vous êtes peut-être le Don Quichotte de la politique française, mais vous êtes avant tout un homme de convictions, un homme de rêves, un homme de volonté. Et c’est peut-être cela, au fond, qui compte le plus.

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *