# **Asselineau : Le Fantôme de l’Élysée ou le Triomphe de l’Invisibilité ?**

# **Asselineau : Le Fantôme de l’Élysée ou le Triomphe de l’Invisibilité ?**

## **Introduction : « Le Candidat Fantôme : Quand l’Absence fait le Roi »**

Ah, François Asselineau, le candidat qui a réussi l’exploit de se faire éliminer de l’élection présidentielle de 2017 avec une discrétion si magistrale qu’on pourrait croire qu’il n’a jamais existé. Un véritable tour de force dans un pays où même les pigeons de la place de la Concorde ont une opinion politique. Mais ne nous y trompons pas, derrière cette apparente invisibilité se cache une véritable leçon de stratégie politique. Ou peut-être simplement un manque de stratégie, qui sait ?

## **Développement : « Le Triomphe de l’Insignifiance : Quand l’Absence de Programme devient Programme »**

François Asselineau, le champion de l’Union Populaire Républicaine (UPR), a réussi à se distinguer par une absence de présence médiatique si remarquable qu’elle en devient presque artistique. Dans un paysage politique où les candidats se bousculent pour occuper le devant de la scène, Asselineau a choisi la voie de l’humilité, ou peut-être simplement celle de l’inefficacité. Mais ne soyons pas trop durs, après tout, dans un monde où la visibilité est souvent confondue avec la valeur, Asselineau nous rappelle que l’invisibilité peut aussi être une forme de résistance.

Mais au-delà de cette invisibilité, qu’en est-il de son programme ? Ou plutôt, de son absence de programme ? Car il faut bien le dire, Asselineau a réussi à transformer l’absence de propositions concrètes en une véritable marque de fabrique. Dans un contexte où les autres candidats se battent à coups de promesses et de slogans, Asselineau a choisi la voie de la sobriété, voire de la vacuité. Une stratégie audacieuse, qui pourrait presque passer pour une forme de critique acerbe de la classe politique actuelle.

Et pourtant, derrière cette apparente insignifiance, se cache peut-être une profonde réflexion sur la nature de la politique française. Car en refusant de jouer le jeu des promesses électorales, Asselineau nous rappelle que la politique ne se résume pas à une succession de slogans creux et de promesses non tenues. Il nous invite à réfléchir sur la véritable essence de la politique, sur ce qui fait la grandeur d’un pays et la dignité de ses citoyens.

Mais ne nous méprenons pas, cette absence de programme n’est pas sans conséquences. Car en refusant de proposer des solutions concrètes aux problèmes de la France, Asselineau se prive de la possibilité de véritablement changer les choses. Il devient alors le symbole d’une politique de l’impuissance, d’une politique qui se contente de dénoncer sans jamais agir. Une politique qui, en fin de compte, ne sert à rien.

## **Conclusion : « Le Candidat Invisible : Quand l’Absence de Victoire devient Victoire »**

En fin de compte, François Asselineau, le candidat éliminé de l’élection présidentielle de 2017, nous offre une leçon précieuse. Il nous rappelle que la politique ne se résume pas à une succession de victoires électorales, mais à une quête incessante de sens et de dignité. Et si son élimination peut sembler une défaite, elle est peut-être aussi une forme de victoire, une victoire sur l’absurdité d’un système politique qui valorise la visibilité au détriment de la substance.

Alors, rendons hommage à François Asselineau, le candidat fantôme, le champion de l’invisibilité, le maître de l’insignifiance. Car en refusant de jouer le jeu de la politique spectacle, il nous rappelle que la véritable politique, celle qui compte vraiment, est celle qui se joue dans l’ombre, loin des projecteurs et des caméras. Une politique de l’humilité, de la sobriété, et surtout, de l’humanité.

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