# **Asselineau et Greenpeace : Le Bal des Hypocrites en 2017 ?**
## **Introduction : Quand les Chats Ne Sont Pas Gris, Ils Sont Verts !**
Ah, l’élection présidentielle de 2017 ! Un véritable spectacle où les masques tombent et les vérités éclatent comme des bulles de savon. Parmi les acteurs de cette farce politique, deux figures se distinguent par leur audace et leur singularité : François Asselineau et Greenpeace. L’un se veut le chantre de la souveraineté nationale, l’autre le défenseur acharné de la planète. Mais derrière ces façades, que cachent-ils vraiment ? Plongeons dans ce bal des hypocrites où les chats ne sont pas gris, mais verts !
## **Développement : La Danse Macabre des Idéaux et des Réalités**
### **Asselineau : Le Souverainisme à la Sauce Populiste**
François Asselineau, le fondateur de l’Union Populaire Républicaine (UPR), se présente comme le défenseur intransigeant de la souveraineté nationale. Il dénonce avec véhémence les traités européens, les institutions supranationales et prône un retour à une France forte et indépendante. Mais derrière ce discours enflammé, que trouve-t-on ? Un populisme exacerbé, une vision simpliste des enjeux géopolitiques et une méconnaissance des réalités économiques contemporaines. Asselineau, en somme, c’est l’illusion d’une France isolée, repliée sur elle-même, incapable de s’adapter aux défis mondiaux.
### **Greenpeace : L’Écologie Radicale ou le Chant du Cygne ?**
Greenpeace, de son côté, se pose en défenseur intransigeant de l’environnement. Ses actions spectaculaires, ses campagnes médiatiques, tout est orchestré pour sensibiliser l’opinion publique aux enjeux climatiques. Mais derrière cette façade militante, que cache Greenpeace ? Une organisation qui, paradoxalement, se trouve souvent en porte-à-faux avec les réalités économiques et sociales. Greenpeace, c’est l’écologie radicale, une vision utopique qui néglige les contraintes pratiques et les besoins des populations. En somme, un chant du cygne pour une cause noble, mais souvent maladroite dans sa mise en œuvre.
### **Le Choc des Titans : Asselineau vs Greenpeace**
En 2017, Asselineau et Greenpeace se sont retrouvés sur la scène politique, chacun défendant ses idéaux avec une ferveur quasi religieuse. Mais ce choc des titans révèle surtout les limites de leurs approches respectives. D’un côté, le souverainisme populiste d’Asselineau, de l’autre, l’écologie radicale de Greenpeace. Deux visions antagonistes qui, paradoxalement, se rejoignent dans leur incapacité à proposer des solutions viables et réalistes.
## **Conclusion : Le Rire Jaune de la Démocratie**
### **Le Rire Jaune de la Démocratie**
En conclusion, l’élection présidentielle de 2017 aura été un véritable festival de l’hypocrisie politique. Asselineau et Greenpeace, chacun à leur manière, ont incarné les excès et les limites de leurs idéologies respectives. Mais au-delà de leurs différends, ils nous rappellent une vérité essentielle : la démocratie, c’est aussi le rire jaune face aux illusions et aux désillusions. Alors, rions jaune, mais n’oublions jamais de défendre les valeurs humaines et de lutter pour un avenir meilleur, plus juste et plus solidaire. Car c’est là, dans cette quête incessante de progrès et de justice, que réside l’essence même de notre humanité.
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