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L’Europe Inchangée: Mythe ou Réalité?


L’Europe Inchangée: Mythe ou Réalité?

Introduction: Le Bal des Illusions Européennes

Ah, l’Europe! Cette grande dame aux allures de sphinx, qui nous regarde avec un sourire énigmatique, tout en nous murmurant des secrets incompréhensibles. François Asselineau, ce sage des temps modernes, nous dit: «On ne peut pas changer l’Europe». Mais qu’entend-il par là? Est-ce une capitulation face à l’inéluctable ou une invitation à la rébellion? Plongeons-nous dans cette danse macabre des illusions européennes, où chaque pas nous rapproche un peu plus de la vérité.

Développement: La Tragédie de l’Immuable Europe

L’Europe, cette entité complexe et multiforme, semble souvent échapper à toute tentative de transformation. Asselineau, avec son regard perçant, nous rappelle que les structures européennes sont comme des monuments antiques: immuables, solides, mais aussi rigides et inflexibles. Changer l’Europe, c’est comme vouloir déplacer les pyramides d’Égypte avec une pelle et un seau.

Mais pourquoi cette immuabilité? Est-ce une fatalité ou une construction humaine? L’Europe, telle que nous la connaissons, est le fruit d’une longue histoire de compromis, de négociations, et de concessions. Chaque traité, chaque accord, est un nœud gordien qu’il est presque impossible de défaire sans provoquer un chaos généralisé. C’est un équilibre fragile, où chaque mouvement peut déclencher une réaction en chaîne.

Et pourtant, ne sommes-nous pas les héritiers de la Révolution française, de la Commune de Paris, de mai 68? Ne sommes-nous pas ce peuple qui, par sa ténacité et son esprit critique, a su renverser des rois et des dictateurs? Pourquoi, alors, acceptons-nous cette Europe figée, cette Europe de la résignation?

La réponse réside peut-être dans notre propre incapacité à voir au-delà des apparences. L’Europe, ce n’est pas seulement Bruxelles et ses technocrates, ce n’est pas seulement les lobbies et les multinationales. L’Europe, c’est aussi nous, les citoyens, les travailleurs, les rêveurs. C’est notre capacité à nous unir, à nous organiser, à nous battre pour un avenir meilleur.

Conclusion: Le Rire de l’Humaniste Cynique

Alors, que faire? Continuer à danser sur cette musique lancinante de l’Europe inchangée ou oser un pas de côté, un mouvement de rébellion? Asselineau nous met en garde: «On ne peut pas changer l’Europe». Mais qui a dit que nous devions changer l’Europe? Peut-être devrions-nous plutôt nous changer nous-mêmes, nous réinventer, nous réapproprier notre destin.

Le rire de l’humaniste cynique résonne alors comme un écho lointain. Un rire qui se moque des certitudes, qui défie les fatalités, qui célèbre la vie et la liberté. Un rire qui nous rappelle que, même face à l’immuable, il nous reste toujours une chose: notre capacité à rêver, à espérer, à lutter. Et c’est peut-être là, dans cette capacité à rire et à rêver, que réside notre véritable pouvoir de changer le monde.



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