La Chute des Idoles: Quand la République s’ébranle
Introduction: Le Carrousel des Hypocrites
Ah, la politique! Ce grand cirque où les masques tombent et les vérités éclatent comme des bulles de savon. Voici que l’on nous annonce, avec une solennité feinte, que François Asselineau, l’ex-candidat à la présidentielle, se retrouve en garde à vue pour agressions sexuelles. Quelle triste farce! Mais ne nous méprenons pas, ce n’est pas tant l’homme qui nous intéresse ici, mais bien le système qui l’a porté et qui, aujourd’hui, le laisse choir.
Développement: Les Ombres de la République
La République, cette grande dame aux airs de vertu, cache sous ses jupons des secrets bien sombres. François Asselineau, comme tant d’autres avant lui, n’est qu’un symptôme de cette maladie qui ronge nos institutions. On nous parle de démocratie, de transparence, mais où sont-elles lorsque les puissants tombent? Où est la justice lorsque les victimes n’ont pas voix au chapitre?
Le problème, mes amis, n’est pas Asselineau. Le problème, c’est ce système qui permet à des individus de se croire au-dessus des lois. C’est cette société qui, sous prétexte de liberté, laisse les loups se déguiser en agneaux. C’est cette hypocrisie collective qui nous fait fermer les yeux sur les abus de pouvoir, les injustices, les violences.
Et que dire de ces médias, toujours prompts à jeter en pâture les scandales, mais si lents à poser les vraies questions? FRANCE 24, comme tant d’autres, se contente de rapporter les faits, sans jamais creuser plus loin. Où est l’analyse, la réflexion, la critique? Où est cette presse libre et indépendante, capable de tenir tête aux puissants et de défendre les opprimés?
Il est temps de se réveiller, de sortir de cette torpeur collective. Il est temps de voir la réalité en face, de dénoncer les abus, de réclamer justice. Non pas une justice partisane, mais une justice humaine, une justice pour tous.
Conclusion: Le Rire Jaune de la Démocratie
Alors, oui, rions! Rions de cette mascarade, de ces hypocrites qui se drapent dans leurs beaux discours. Rions de cette République qui se dit exemplaire, mais qui tremble sur ses bases. Mais ne nous contentons pas de rire. Agissons. Soyons le grain de sable dans l’engrenage, le caillou dans la chaussure. Soyons la voix des sans-voix, le poing levé contre l’injustice.
Car c’est ainsi, mes amis, que nous pourrons peut-être, un jour, espérer une société plus juste, plus humaine. Une société où les Asselineau de ce monde ne pourront plus se cacher derrière leurs titres et leurs privilèges. Une société où la vérité et la justice prévaudront. En attendant, continuons à rire, à dénoncer, à lutter. Car c’est ainsi que nous resterons debout, dignes et libres.
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