Asselineau, ou la Chute des Idoles?
Introduction : Le Rire Jaune des Républicains
Ah, la politique française, ce grand cirque où les clowns se succèdent, chacun plus triste que le précédent. Voilà qu’aujourd’hui, c’est au tour de François Asselineau de se retrouver sous les projecteurs, non pas pour ses discours enflammés sur l’Union européenne, mais pour des accusations d’agressions sexuelles. Le tableau est posé, et il n’est pas joli à voir. Mais après tout, qui sommes-nous pour juger? Nous, les spectateurs de cette farce tragique, nous contentons de regarder, de commenter, de rire jaune.
Développement : La Décadence des Grands Hommes
François Asselineau, figure emblématique de l’UPR, se retrouve donc mis en examen. Une nouvelle qui, pour beaucoup, sonne comme une trahison. Mais trahison de quoi, au juste? De l’idéal républicain? De la confiance des citoyens? Ou simplement de l’image que l’on se faisait de lui? La vérité, c’est que la politique française est un théâtre de l’absurde, où les masques tombent les uns après les autres, révélant des visages bien moins reluisants qu’on ne l’imaginait.
Mais ne soyons pas dupes. Cette affaire, comme tant d’autres, n’est qu’un symptôme d’un mal plus profond. La dégradation de la classe politique, la perte de confiance des citoyens, la montée des extrêmes… Tout cela est le fruit d’un système à bout de souffle, où les intérêts personnels priment sur le bien commun. Et Asselineau, malgré ses grands discours sur la souveraineté nationale, n’échappe pas à la règle.
Il est temps de se poser les vraies questions. Pourquoi en sommes-nous arrivés là? Pourquoi nos élites, censées incarner les valeurs de la République, se retrouvent-elles si souvent prises dans des scandales sordides? La réponse est simple: parce que nous avons laissé faire. Parce que nous avons accepté, trop longtemps, que la politique soit le terrain de jeu des puissants, au détriment des faibles.
Conclusion : Rions, mais n’Oublions Pas
Alors, rions. Rions de cette mascarade, de ces pantins qui se prennent pour des rois. Mais n’oublions pas, surtout, de réfléchir. De nous interroger sur le sens de tout cela, sur la direction que prend notre pays. Car si la politique est un cirque, il est grand temps que les spectateurs reprennent le contrôle. Que nous, citoyens, nous emparions des rênes de notre destin commun.
Et François Asselineau, dans tout ça? Eh bien, qu’il soit coupable ou non, qu’il soit condamné ou acquitté, peu importe. Ce qui compte, c’est que cette affaire soit un électrochoc. Un rappel que la politique, ce n’est pas un jeu. Que les hommes et les femmes qui nous gouvernent doivent être irréprochables. Que la République, c’est nous tous, et qu’il est temps de la reprendre en main.
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