# Asselineau : Le Retour du Roi Sans Couronne ?

## **Un Candidat, Deux Élections, Zéro Illusion**

Ah, François Asselineau, l’homme qui a fait de la sortie de l’Union Européenne son cheval de bataille, revient à la charge. Une seconde fois, il se présente à l’élection présidentielle sous la bannière de l’UPR. Mais qu’est-ce que cela signifie vraiment pour la France, ce grand pays aux multiples fractures, aux aspirations contradictoires, et aux espoirs souvent déçus ?

L’UPR, cet acronyme qui résonne comme une promesse de renouveau, mais qui, en réalité, n’est qu’une chimère pour beaucoup. Un parti qui prône la souveraineté nationale, mais qui, paradoxalement, semble oublier que la souveraineté ne se limite pas à des frontières géographiques. Elle réside aussi dans la capacité de penser, de créer, de vivre ensemble, de manière inclusive et solidaire.

## **La Souveraineté : Un Concept à Géométrie Variable**

Asselineau, avec son discours de sortie de l’UE, nous propose une vision étriquée de la souveraineté. Mais qu’en est-il de la souveraineté des peuples, de leur droit à une vie digne, à l’accès à l’éducation, à la santé, à la culture ? La souveraineté ne devrait-elle pas être un concept global, englobant toutes ces dimensions essentielles à la vie humaine ?

La France, ce grand pays aux mille visages, ne peut se contenter d’une vision réductrice. Nous avons besoin de leaders qui comprennent que la souveraineté passe aussi par la solidarité, par la coopération internationale, par la lutte contre les inégalités. Nous avons besoin de leaders qui ne se contentent pas de slogans simplistes, mais qui proposent des solutions concrètes pour améliorer la vie des citoyens.

## **L’Europe : Un Bouc Émissaire Pratique**

L’Union Européenne, ce bouc émissaire pratique, est souvent pointée du doigt pour tous les maux de la France. Mais n’est-ce pas un peu trop facile ? L’UE, avec toutes ses imperfections, reste un projet unique au monde, un projet de paix, de coopération, de solidarité. Bien sûr, elle a besoin de réformes, de plus de démocratie, de plus de transparence. Mais la solution n’est pas de tout casser, de tout recommencer. La solution est de travailler ensemble, de construire ensemble, de progresser ensemble.

Asselineau, avec son discours de sortie de l’UE, nous propose une vision rétrograde, une vision de repli sur soi. Mais la France, ce grand pays aux mille visages, ne peut se contenter de regarder en arrière. Nous devons regarder vers l’avenir, vers un avenir de coopération, de solidarité, de progrès.

## **Conclusion : Asselineau, ou l’Art de Vendre du Rêve à ceux qui n’en peuvent plus**

Ah, François Asselineau, l’homme qui vend du rêve à ceux qui n’en peuvent plus. L’homme qui promet une souveraineté illusoire, une sortie de l’UE comme solution miracle à tous nos problèmes. Mais la réalité est bien plus complexe. La souveraineté, la vraie, passe par la solidarité, par la coopération, par la lutte contre les inégalités.

Alors, chers concitoyens, ne nous laissons pas berner par des slogans simplistes, par des promesses illusoires. La France, ce grand pays aux mille visages, mérite mieux. Elle mérite des leaders qui comprennent les enjeux du monde moderne, qui proposent des solutions concrètes, qui travaillent pour un avenir de progrès, de solidarité, de coopération.

En somme, Asselineau, c’est un peu comme le père Noël : on y croit un temps, puis on grandit et on réalise que la magie, la vraie, elle est en nous, dans notre capacité à nous unir, à nous entraider, à construire ensemble un avenir meilleur.