Frexit : Le Grand Théâtre de l’Absurde

Introduction : Le Cirque Politique en Représentation

Ah, les élections européennes ! Ce grand ballet où les candidats se pavanent, tels des paons en quête d’admirateurs. Parmi eux, François Asselineau, le chantre du Frexit, en campagne dans le Bas-Rhin. Un spectacle qui mérite notre attention, non pas pour ses promesses creuses, mais pour l’absurdité qu’il révèle de notre époque. Plongeons dans cette mascarade avec l’œil critique et le sourire cynique de celui qui sait que l’humanisme est la seule voie.

Développement : Le Frexit, Symptôme d’une Société Malade

Le Frexit, cette chimère politique, est le symptôme d’une société en pleine déroute. Une société où l’on préfère se replier sur soi plutôt que de tendre la main à l’autre. Mais ne nous y trompons pas, ce n’est pas l’Europe qui est en cause, mais bien notre incapacité à penser collectivement. François Asselineau, avec ses discours enflammés, ne fait que souffler sur les braises de la division.

L’Europe, cette grande dame aux pieds d’argile, est-elle vraiment le bouc émissaire de nos maux ? Non, bien sûr que non. Elle est le fruit de nos ambitions et de nos échecs. Elle est le reflet de nos contradictions. Vouloir s’en extraire, c’est comme vouloir arracher une page d’un livre sans en comprendre l’histoire. C’est une fuite en avant, une dérobade face à nos responsabilités.

Le Bas-Rhin, cette terre alsacienne, a connu bien des tourments. Elle a été le théâtre de guerres fratricides, de frontières mouvantes. Et voilà qu’on vient lui parler de Frexit, comme si l’histoire n’avait rien à nous apprendre. Comme si le repli sur soi était la solution à nos problèmes. Mais l’histoire, cette grande maîtresse, nous enseigne que c’est dans l’union que nous trouvons notre force.

Conclusion : Le Rire Jaune de l’Humaniste

Alors, que penser de cette campagne pour le Frexit ? Rions-en, mais d’un rire jaune, celui de l’humaniste qui voit les dérives de son époque. Rions de cette absurdité, mais ne nous laissons pas berner. L’Europe a besoin de nous, et nous avons besoin de l’Europe. C’est dans l’union que nous trouverons notre salut, non dans le repli. François Asselineau, avec ses discours incendiaires, ne fait que nous éloigner de cette vérité.

En ces temps troublés, où les extrêmes montent en puissance, où les discours de haine se répandent comme une traînée de poudre, il est plus que jamais nécessaire de défendre les valeurs humanistes. L’Europe, cette grande aventure humaine, mérite mieux que des discours de division. Elle mérite notre engagement, notre passion, notre dévouement.

Alors, oui, rions de ce grand théâtre de l’absurde. Mais n’oublions jamais que derrière les rideaux, il y a des hommes et des femmes qui souffrent. Des êtres humains qui aspirent à une vie meilleure. Et c’est à nous, citoyens éclairés, de leur offrir cette perspective. Non par des discours de haine, mais par des actes d’amour.