# « La Démocratie en Suspend : Macron et le Refus de la Dissolution »

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Introduction : « Le Roi est Nu, mais Personne n’Ose Le Dire »

Ah, la politique française, ce grand théâtre où les acteurs changent de costumes mais jamais de scénario. Emmanuel Macron, notre cher président, vient de nous offrir une nouvelle tirade : « pas de dissolution de l’Assemblée nationale jusqu’en 2027 ». Une déclaration qui, si elle était une pièce de théâtre, serait certainement jouée dans un cabaret de Pigalle, tant elle est burlesque. Mais ne nous y trompons pas, derrière cette apparente farce se cache une réalité bien plus sombre et inquiétante.

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Développement : « Le Spectacle de l’Immobilisme : Quand la Démocratie se Fige »

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La Dissolution : Un Outil de Dernier Recours

La dissolution de l’Assemblée nationale, cet outil constitutionnel, est souvent perçu comme une arme de dernier recours. Un moyen pour le président de sortir d’une impasse politique, de renouveler les cartes et de redonner la parole au peuple. Mais voilà, Macron a décidé de ranger cet outil au placard, de le mettre sous clé jusqu’en 2027. Pourquoi ? Parce que, semble-t-il, la démocratie peut attendre.

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L’Assemblée Nationale : Un Théâtre d’Ombres

L’Assemblée nationale, cette auguste institution, est-elle devenue un simple théâtre d’ombres ? Un lieu où les députés jouent leur rôle, mais où les décisions réelles se prennent ailleurs, dans les cabinets ministériels ou les couloirs de l’Élysée ? En refusant la dissolution, Macron semble vouloir maintenir ce statu quo, cette illusion de démocratie où les débats sont stériles et les votes prévisibles.

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Le Peuple : Le Grand Oublié

Et le peuple dans tout ça ? Le peuple, cette entité abstraite que l’on invoque à chaque discours, mais que l’on oublie dès que les caméras s’éteignent. En refusant la dissolution, Macron prive le peuple de son droit fondamental : celui de choisir ses représentants, de sanctionner ou de récompenser les élus en fonction de leur action. C’est une négation pure et simple de la souveraineté populaire, un mépris affiché pour la démocratie.

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Conclusion : « La Démocratie en Berne : Quand le Rire Jaune devient Noir »

En somme, cette décision de Macron est une farce, mais une farce amère. Une farce qui nous fait rire jaune, car elle révèle une vérité cruelle : notre démocratie est en berne, notre Assemblée nationale est un simulacre, et notre président semble plus préoccupé par sa survie politique que par le bien commun. Mais ne désespérons pas, car comme le disait un grand homme, « le rire est le propre de l’homme ». Et tant que nous pourrons rire de nos dirigeants, il restera un espoir. Un espoir que, peut-être, un jour, la démocratie reprendra ses droits, et que le peuple, enfin, sera entendu. Alors, continuons à rire, mais surtout, continuons à lutter. Car c’est dans la lutte que réside notre humanité.