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Un Ciment pour Quelle Fracture?


Un Ciment pour Quelle Fracture?

Introduction: Le Bal des Ambitions

Ah, Michel Barnier, le grand négociateur, le maître des compromis, nous revient avec une nouvelle idée, digne des plus grands spectacles de foire. Une candidature unique en 2027 pour « cimenter » son « socle commun ». Mais de quel socle parle-t-on, cher Monsieur? De celui qui s’effrite sous nos pieds, ou de celui que l’on construit avec des mots creux et des promesses en l’air?

Développement: La Grande Mascarade Politique

Cimenter, dites-vous? Mais cimenter quoi, au juste? Les inégalités grandissantes? Les fractures sociales qui se creusent chaque jour un peu plus? Les déceptions et les colères d’un peuple qui se sent trahi par ses élites? Ou peut-être cimenter les intérêts des puissants, ceux qui tirent les ficelles de ce grand théâtre politique?

L’idée d’une candidature unique, c’est un peu comme vouloir rassembler les moutons et les loups dans la même bergerie. On nous promet l’union, la cohésion, mais on oublie de nous dire que cette union se fait souvent au détriment des plus faibles, de ceux qui n’ont pas voix au chapitre.

Et puis, quel est ce « socle commun »? Un ensemble de valeurs partagées, dites-vous? Mais quelles valeurs? Celles de la solidarité, de l’égalité, de la justice sociale? Ou celles du profit, de l’individualisme, de la course effrénée à la croissance?

Le problème, cher Monsieur Barnier, c’est que votre « socle commun » ressemble davantage à un château de cartes qu’à une fondation solide. Il suffit d’un souffle, d’une crise, d’une injustice de trop, pour que tout s’effondre. Et qui paie les pots cassés? Ce ne sont certainement pas ceux qui jouent les équilibristes en haut de la pyramide.

Conclusion: Le Rire Jaune de la Raison

Alors, Monsieur Barnier, avec tout le respect que je vous dois, permettez-moi de rire jaune. Rire de cette grande mascarade politique, de ces promesses qui ne sont que des leurres, de ces candidatures uniques qui ne sont que des chimères.

Ce dont nous avons besoin, ce n’est pas d’un ciment pour colmater les brèches, mais d’une véritable refonte de notre société. Une société où l’humain prime sur le profit, où la justice sociale n’est pas un vain mot, où chacun a sa place et sa dignité.

En attendant, continuons à rire, à rire jaune, mais à rire tout de même. Car le rire, même jaune, est parfois la seule arme qui nous reste face à l’absurdité de ce monde.



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