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« Pas de candidat unique de la gauche » en 2027 : La farce tragique de l’éparpillement
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Introduction : Le Grand Cirque Électoral
Ah, la politique, ce grand cirque où les clowns se succèdent sans jamais se ressembler, mais toujours avec la même triste rengaine. François Hollande, notre ancien président normal, vient de nous gratifier d’une déclaration qui, si elle n’était pas si pathétique, pourrait presque être drôle. « Pas de candidat unique de la gauche » en 2027. On croirait entendre un oracle antique nous annoncer une malédiction divine. Mais non, c’est juste la réalité crue de notre démocratie en lambeaux.
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Développement : La Division, Mère de Toutes les Défaites
La gauche, cette grande famille dysfonctionnelle, semble incapable de s’unir même face à l’adversité. Chacun tire la couverture à soi, chacun veut sa part du gâteau, et pendant ce temps, le peuple, lui, se morfond dans l’indifférence et le désespoir. La division, cette bête immonde, ronge les fondements mêmes de ce qui devrait être un front uni contre les injustices sociales, contre les inégalités criantes, contre la montée des extrêmes.
Mais non, nous avons droit à un festival de candidatures, à une cacophonie de voix qui, au lieu de se compléter, se neutralisent. François Hollande, avec sa déclaration, ne fait que confirmer ce que nous savions déjà : la gauche est en pleine déroute, incapable de se relever de ses propres contradictions.
Et pourtant, les enjeux sont là, plus pressants que jamais. La crise climatique, la précarité grandissante, les inégalités sociales qui se creusent… Autant de défis qui nécessiteraient une réponse forte, unie, cohérente. Mais non, nous avons droit à un spectacle de marionnettes, où chacun joue sa partition sans se soucier du désastre collectif.
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Conclusion : Le Rire Jaune de la Désillusion
Alors, que faire ? Rire jaune, peut-être. Rire de cette farce tragique, de ce spectacle grotesque où les acteurs se prennent trop au sérieux. Mais ne nous y trompons pas, derrière ce rire, il y a une profonde tristesse, une profonde désillusion. La politique, ce devrait être le lieu de l’espérance, de la transformation, de l’utopie réalisable. Mais elle est devenue un champ de bataille stérile, où les égos se heurtent et où les idéaux se perdent.
Pourtant, il reste une lueur d’espoir. Cette lueur, c’est nous, le peuple. C’est notre capacité à nous mobiliser, à nous organiser, à faire entendre notre voix. Car au final, ce ne sont pas les politiciens qui feront la différence, mais bien nous, citoyens, avec notre engagement, notre détermination, notre humanisme.
Alors, continuons à lutter, continuons à rêver, continuons à espérer. Car même si la gauche semble incapable de s’unir, nous, nous pouvons encore changer les choses. Et qui sait, peut-être qu’un jour, nous verrons enfin émerger ce candidat unique, porteur de nos espoirs et de nos combats. En attendant, restons vigilants, restons critiques, et surtout, restons humains.
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