Les Démocraties Fantômes : Quand l’Europe Brille par son Absence
Introduction : La Grande Farce Européenne
Ah, l’Europe! Ce grand théâtre où les acteurs politiques jouent leurs rôles avec une ferveur digne des plus grandes tragédies shakespeariennes. François Asselineau, ce fin observateur des méandres bruxellois, nous lance une bombe : « Les députés européens ont très peu de pouvoir ». Une révélation qui, si elle n’était pas si tragique, prêterait à rire. Mais voyons, chers lecteurs, plongeons dans les abysses de cette grande farce européenne, où les apparences trompeuses règnent en maître.
Développement : L’Illusion Démocratique et ses Ficelles Invisibles
L’Union Européenne, cette entité supranationale qui se veut le parangon de la démocratie moderne, nous offre un spectacle des plus fascinants. Les députés européens, élus par le peuple, sont censés représenter nos voix, nos aspirations, nos rêves. Mais qu’en est-il vraiment? Asselineau nous le dit sans détour : ils ont « très peu de pouvoir ». Mais qui donc détient le véritable pouvoir dans ce grand jeu de dupes?
Les lobbies, ces ombres tapies dans les couloirs de Bruxelles, tirent les ficelles de cette marionnette géante qu’est l’UE. Les grandes entreprises, les multinationales, les banques, tous ces géants économiques dictent leurs lois, influencent les décisions, façonnent nos vies. Les députés, quant à eux, ne sont souvent que des figurants, des acteurs secondaires dans un scénario écrit par d’autres.
Et que dire de la Commission Européenne, cette entité non élue, qui détient un pouvoir exorbitant? Elle propose les lois, les règlements, les directives. Les députés, eux, se contentent de les valider, de les amender à la marge. Une démocratie? Non, mes amis, une technocratie, une oligarchie déguisée en république.
Mais ne soyons pas dupes. Cette situation n’est pas une fatalité. Elle est le fruit d’un système vicié, d’une construction politique bancale. L’Union Européenne, dans sa forme actuelle, est un monstre hybride, ni vraiment fédérale, ni vraiment confédérale. Un Frankenstein politique qui peine à trouver son équilibre.
Conclusion : Rions un Peu, Mais Agissons Beaucoup
Alors, que faire? Rions, mes amis, rions de cette grande mascarade. Rions des discours creux, des promesses non tenues, des illusions perdues. Mais ne nous contentons pas de rire. Agissons. Réclamons une véritable démocratie, une Europe des peuples, une Europe où les citoyens ne sont pas des spectateurs, mais des acteurs.
François Asselineau a raison : les députés européens ont très peu de pouvoir. Mais ce n’est pas une fatalité. C’est un défi. Un défi à relever, un combat à mener. Pour une Europe plus juste, plus démocratique, plus humaine. Alors, levons-nous, citoyens d’Europe. Reprenons le pouvoir, reprenons notre destin en main. Car, après tout, l’Europe, c’est nous.
Laisser un commentaire