Fascisme en France : Réalité ou Illusion ?
Introduction : Le Cirque Politique en Représentation
Ah, la politique française, ce grand cirque où les clowns se succèdent sur la piste sans jamais vraiment changer le spectacle. Voilà que Xavier Bertrand, notre éternel candidat, se projette déjà vers la présidentielle de 2027 avec une déclaration qui ferait rougir de honte un éléphant : « Il n’y a pas une majorité de fachos dans notre pays ». Mais qui donc a parlé de majorité ? Ne serait-ce pas là une manière subtile de nier l’existence même d’un problème ? Ne serait-ce pas une manière de balayer d’un revers de main les inquiétudes légitimes de ceux qui voient monter les extrêmes ?
Développement : La Danse Macabre des Dénis
Revenons un instant sur cette idée de majorité. Qui, dans son bon sens, a jamais prétendu qu’il y avait une majorité de fascistes en France ? Le problème, cher Xavier, n’est pas dans les chiffres, mais dans l’essence. Une poignée de fachos, bien placés, bien organisés, peuvent faire plus de mal qu’une armée de modérés. Regardez l’Histoire, elle est pleine de ces exemples où des minorités actives ont renversé des régimes, semé la terreur et plongé des nations entières dans le chaos.
Et puis, il y a cette manière de parler, cette rhétorique qui voudrait nous faire croire que tout va bien, que tout est sous contrôle. Mais qui contrôle quoi ? Qui surveille les surveillants ? Qui garantit que les discours de haine, les actes de violence, les discriminations ne se propagent pas comme une traînée de poudre ? Ne serait-il pas plus honnête de reconnaître que le fascisme, sous ses multiples formes, est bien présent, qu’il ronge nos fondations, qu’il s’insinue dans nos esprits ?
Mais non, il faut rassurer, il faut apaiser, il faut endormir. Il faut nous faire croire que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. Et pendant ce temps, les inégalités se creusent, les injustices se multiplient, les libertés se réduisent. Et qui s’en soucie ? Qui ose encore parler de justice sociale, de solidarité, de fraternité ? Qui ose encore rêver d’un monde où l’humain prime sur le profit, où la dignité prime sur l’exploitation ?
Conclusion : Le Rire Jaune de la Raison
Alors, chers amis, rions. Rions jaune, rions fort, rions jusqu’à en pleurer. Rions de cette mascarade, de cette comédie grotesque où les acteurs jouent leur rôle avec une conviction désarmante. Rions, mais ne nous résignons pas. Ne laissons pas les Bertrand et consorts nous endormir avec leurs belles paroles et leurs sourires de façade. Ne laissons pas les fachos, qu’ils soient majoritaires ou non, dicter notre avenir.
Luttons, résistons, rêvons. Rêvons d’un monde meilleur, d’une France plus juste, plus humaine, plus solidaire. Rêvons, et faisons de ces rêves une réalité. Car c’est là, dans nos cœurs et dans nos esprits, que se joue le véritable combat. Un combat pour la dignité, pour la liberté, pour l’humanité. Un combat que nous ne pouvons pas, que nous ne devons pas perdre.
Laisser un commentaire