La Farce des Subventions : Quand l’État se prend les pieds dans le tapis de la laïcité
Introduction : La Grande Parade des Faux-Fuyants
Ah, la laïcité à la française, ce grand barnum où l’on danse sur le fil ténu de l’équilibre entre tolérance et rigueur, entre subventions et principes. Xavier Bertrand, notre jongleur de la politique, vient de se faire rappeler à l’ordre pour la seconde fois par le Conseil d’État. Mais qu’importe, le spectacle continue, et nous, public béat, assistons à cette pantomime où l’argent public se transforme en poudre aux yeux.
Développement : Le Grand Ballet des Hypocrites
Subventionner un lycée musulman, pourquoi pas ? Après tout, l’éducation est un droit universel, et il serait absurde de priver des jeunes esprits de la possibilité de s’instruire sous prétexte de leur confession. Mais voilà, le diable se cache dans les détails. Le lycée Averroès, ce temple du savoir, se trouve pris dans les filets de la polémique. Et pour cause, l’argent public, ce bien si précieux, ne devrait-il pas être distribué avec une rigueur implacable, sans favoritisme ni arrière-pensées ?
Xavier Bertrand, notre homme de l’art, semble avoir oublié que la laïcité, ce n’est pas seulement un mot que l’on brandit comme un étendard lors des discours électoraux. C’est un principe fondamental, une colonne vertébrale de notre République. Subventionner un établissement confessionnel, c’est ouvrir la porte à toutes les dérives, c’est jouer avec le feu de la division.
Le Conseil d’État, dans sa sagesse, a tranché. Deux fois. Mais notre ami Xavier, tel un Sisyphe des temps modernes, semble condamné à rouler son rocher éternellement. Pourquoi s’acharner ainsi ? Pourquoi ne pas accepter que certaines lignes ne doivent pas être franchies ?
La question des subventions aux établissements confessionnels est un serpent de mer qui revient régulièrement hanter nos débats publics. Mais il est temps de trancher, de poser des règles claires et inaliénables. L’argent public doit servir l’intérêt général, et non les intérêts particuliers, fussent-ils religieux.
Conclusion : Le Rire Jaune de la Raison
Alors, chers amis, continuons à rire de cette farce politique, de ces pantins qui se prennent pour des marionnettistes. Mais n’oublions pas que derrière chaque décision, chaque subvention, il y a des principes à défendre, des valeurs à préserver. La laïcité, ce n’est pas un gros mot, c’est notre bouclier contre les dérives sectaires, notre rempart contre l’obscurantisme.
Et vous, Xavier, prenez-en de la graine. La prochaine fois, avant de signer un chèque, pensez à la République, pensez à la France. Et surtout, pensez à nous, pauvres citoyens, qui ne demandons qu’à vivre dans un pays où l’égalité et la justice ne sont pas des mots en l’air, mais des réalités tangibles.
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