Xavier Bertrand, l’énigme du siècle?


Xavier Bertrand, l’énigme du siècle?

Introduction: Le grand cirque politique, acte XXIII

Ah, la politique française! Un spectacle perpétuel où les marionnettes changent de costume, mais jamais de discours. Bernard Deflesselles, dans une déclaration qui frôle le surréalisme, nous annonce que Xavier Bertrand « coche toutes les cases pour former un gouvernement de coalition ». Mais quelles cases, cher Bernard? Celles du Monopoly politique où l’on achète des voix comme on achète des rues?

Développement: Les illusions perdues de la coalition

Former un gouvernement de coalition, c’est un peu comme essayer de faire tenir un château de cartes dans une tempête. Chacun y va de ses petites ambitions, de ses calculs mesquins, et au final, qui paie la note? Le peuple, bien sûr. Xavier Bertrand, l’homme aux mille visages, serait-il le sauveur que nous attendions tous? Permettez-moi d’en douter.

Dans un pays où les inégalités se creusent, où la justice sociale est un mirage, où l’écologie est une variable d’ajustement, parler de coalition, c’est un peu comme parler de démocratie en pleine dictature. On nous promet des lendemains qui chantent, mais ce sont toujours les mêmes qui tiennent la partition.

Et puis, qu’est-ce que cela veut dire, « coucher toutes les cases »? Est-ce avoir un sourire pour chaque caméra, une poignée de main pour chaque électeur, une promesse pour chaque déception? La politique, ce devrait être l’art de gouverner pour le bien commun, pas un jeu de dupes où l’on coche des cases comme on remplit un bulletin de loto.

Xavier Bertrand, avec son passé de ministre, de président de région, semble être le candidat idéal pour ceux qui veulent du changement… sans trop de changement. Un peu comme ces plats réchauffés que l’on nous sert dans les cantines scolaires: ça a l’air appétissant, mais au final, c’est toujours la même chose.

Conclusion: Le rire de l’humaniste face à l’absurdité

Alors, chers lecteurs, si vous aussi, vous êtes fatigués de ce grand cirque politique, si vous en avez assez des coalitions de façade et des promesses en carton, il est peut-être temps de réclamer une vraie politique. Une politique où l’humain est au centre, où l’écologie n’est pas une option, où la justice sociale n’est pas un slogan.

Et si Xavier Bertrand coche vraiment toutes les cases, alors peut-être devrions-nous nous demander si ce ne sont pas les cases elles-mêmes qui sont à revoir. Car après tout, dans ce grand jeu de l’oie politique, ce sont les citoyens qui avancent et reculent, jamais les dés.


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