Xavier Bertrand à Matignon, Édouard Philippe pédale dans le vide : le bêtisier de la semaine ! – Marianne

Qui a éteint la lumière à Matignon ?

Introduction : Le grand cirque politique, ou quand les clowns prennent le pouvoir

Ah, la politique française, ce grand théâtre de l’absurde où les acteurs changent de costume plus vite que leurs idées ! Xavier Bertrand à Matignon, Édouard Philippe pédalant dans le vide… On se croirait dans une farce de Molière, mais hélas, ce n’est pas du théâtre, c’est la réalité. Alors, accrochez vos ceintures, mesdames et messieurs, car nous allons plonger dans le bêtisier de la semaine, où le ridicule ne tue pas, mais où il devrait au moins faire rougir.

Développement : La danse des marionnettes, ou l’art de gouverner sans gouvernail

Commençons par Xavier Bertrand, notre nouveau premier ministre, qui semble avoir été parachuté à Matignon comme un mauvais gag de caméra cachée. Mais que fait-il là, me direz-vous ? Eh bien, il incarne à merveille cette politique de l’entre-soi, où les mêmes têtes tournent en boucle, comme un disque rayé. Bertrand, l’éternel candidat, l’homme aux mille vies politiques, est de retour. Mais pour quoi faire, au juste ? Pour continuer à nous servir les mêmes recettes éculées, les mêmes promesses non tenues, les mêmes discours creux.

Et que dire d’Édouard Philippe, notre pédaleur en chef ? Ah, Édouard, toi qui as su si bien naviguer entre les eaux troubles de la politique, te voilà maintenant à pédaler dans le vide. Mais pourquoi tant de hâte, Édouard ? Pourquoi cette course effrénée vers nulle part ? Serait-ce pour échapper à la réalité d’un pays en crise, où les inégalités se creusent, où les services publics agonisent, où la planète brûle ?

Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin. Plongeons dans l’analyse de cette mascarade politique. Bertrand, Philippe, et tous les autres, ne sont que les symptômes d’un système à bout de souffle. Un système où l’intérêt général est sacrifié sur l’autel des ambitions personnelles, où les lobbies dictent leur loi, où les citoyens sont réduits à des variables d’ajustement. Mais jusqu’à quand allons-nous accepter cette farce ? Jusqu’à quand allons-nous laisser les marionnettes danser sur nos têtes ?

Conclusion : Rire ou pleurer, le dilemme du citoyen éclairé

Alors, mes chers compatriotes, que faire face à ce spectacle désolant ? Rire ou pleurer ? Eh bien, rions, mais rions jaune. Rions de ces pantins qui se prennent au sérieux, rions de leurs pitreries, rions de leur incompétence. Mais surtout, ne nous laissons pas abattre. Car derrière le rire, il y a la colère. La colère d’un peuple qui en a assez, la colère d’un peuple qui veut reprendre le contrôle de son destin.

Et c’est là que réside notre force. Dans notre capacité à nous indigner, à nous mobiliser, à nous organiser. Dans notre volonté de bâtir un avenir plus juste, plus solidaire, plus humain. Alors, ne désespérons pas. Continuons à lutter, continuons à rêver, continuons à espérer. Car comme disait l’autre, « ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait ».


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